Vingt ans, Dix Réunions! Twenty Years, Ten Réunions!

Mes pensees a propos  du success depuis  20 ans et 10 reunions. La raison, de reussite de nos reunions, est que ce n’est pas seulement un jour mais trois jours.

Lorsque la fete arrive, nous somes tous bienvenue a la ferme paternelle (qui etait la propriete du pere a Georges), aujourd’hui le bien de Camille et Jean Guy. Comme nous sommes chanceux qu’apres toutes ces generations, c’est notre chez nous. Toujours les portes sont grandement ouvertes pour nous recevoir.

Immediatement, l’atmosphere familiale est dans l’air, nous sentons un repos special en admirant l’eau, les arbres et tout le decor.

Le vendredi nous arrivons et tous peuvent participer au jeux de toutes sortes, au plaisir de se voir. Le samedi c’est la grande reunion. Apres la soiree, la tradition du fameux feu spectaculaire que Jean-Guy a preparer d’avance. Le dimanche, apres visite au cimetiere, pour ceux et celles qui nous ont laisse, nous sommes de retour sur la ferme pour le reste de la journee. Nous avons le golf, et d’autres activities, visite des tantes, oncles, cousins, cousines Potvin et Sasseville.

Et voila le pourquoi nos reunions ont ete un succes. Et la Fete continue.

De Marthe

My thoughts on why our Réunions (10 reunions over 20 years) have been so successful.

When the date finally arrives, we are all invited to the paternal farm, (originally owned by the father of Georges Sasseville) now the residence of Camille and Jean Guy. How fortunate we are that after all these generations it is still in the family! That the doors are still wide open to receive us.

Immediately, the family atmosphere is in the air. We feel a certain calm admiring the water, trees and scenery.

On Friday, the first day of our reunions, we all arrive and begin with all sorts of games – a pleasure to see. The next day, Saturday, is the big day of our reunion. After a full day of festivities, the dramatic and famous  traditional bonfire, prepared in advance by Jean Guy is lit. On Sunday, after visiting those who have departed at the family cemetary, we are back at the farm, playing golf and other activities, visiting aunts, uncles, cousins from the Potvin and Sasseville families.

And that, I believe, is why our reunions have been so successful. And the Réunion continues…

By Marthe

Hommage à Georges Sasseville

Georges Sasseville

Georges Sasseville

Hommage très spécial a notre père: Georges!

Pour nous tous, sœurs et frères, savons très bien que notre père a vecu une vie difficile, de travail, de soucis, du début de sa famille jusqu’a son décès.

A vous: Les neveux et nièces que savez-vous de votre grand-père? L’avez vous connu? Avez vous entendu parler de lui? Arrieres avez vous, peut-etre vu une photo de Lui? C’est pourquoi aujourd’hui, je veux que vous le connaissez mieux. Car, nous tous, ici lui devons tout. Merci à lui de ce que nous sommes devenus.

Sa grande épreuve fut en 1940 lorsque son magasin général brûlait à St-Thomas sans assurance et une famille de 14 enfants. L’aide de ses frères et sœurs à Misstassini arriva: linge et tout etc. ainsi que l’achat d’une petite ferme à st-Eugène (à peu près à un mille de chez Camille et Jean-Guy.

Combien de vous savez cela?

Il recommence à zero! Il décide que pour survivre il doit aller travailler dans le bois pour ses frères qui étaient contracteurs en forêt laissant les plus vieux sur la ferme avec notre mère. En peu d’années, il accumula assez pour acheter la ferme de ses parents ou sont Camille et Jean-Guy.

Maintenant nous sommes 17 enfants (dont 3 décèdés), Grégoire et Camille sont nés sur cette ferme. Papa, s’informe, s’éduque comment réussir sur la ferme. Son travail constant en fait une réussite. Une ferme, que tous les gens “fermiers” du comté venaient visiter et s’informer à propos. Continuant avec la ferme, il entreprend avec un de ses frères, un autre travail pour fournir à sa famille tout le nécessaire et besoins. Ce fut l’achat des ‘camps d’armée” dans le pays qui comprenait: Achat, démolition et vente de tous ces matériaux. Encore là, ce fut des années remplis de succés!

Tout ce qu’il touchait devenait le produit de ses efforts. Nous en avons les preuves!

Malgré son état de santê, diabétique, pression élevée, cardiaque, jamais il ne s’est plain, il a continué son devoir de père et de ses responsabilités jusqu’a la fin! Ainsi que son courage. Continuité et succès que nous avons dans nos vie, nous devons les attribuer à notre père! Il était une personne de quelque mots, mais comme ces mots étaient sages et précis! En pensant que cet hommage à notre père vous aidera à l’apprécier, le respecter et réaliser l’immense contribution qu’il a donné à sa famille.

Marthe Sasseville Battles (fille)
Le 27 juillet 2002

A Tribute to George Sasseville

A Very Special Tribute to Our Father, George! Your Grandfather! Your Great-Grandfather!

For all of us, brothers and sisters, know very well that our father lived a difficult life, from the start of his family until his untimely death.

You: The nephews and nieces, what do you know of your grandfather? Did you ever meet him? Did you ever hear speak of him? Perhaps you saw a picture of him. This is why today I want you to get to know him better. Because all of us here owe him everything. Thanks to him, we’ve become what we are today.

His great trials began in 1940 when his uninsured general store in St. Thomas burned to the ground, leaving him with nothing and a family of 14 children to feed. His brothers and sisters from Misstassini came to his aid with clothes and belongings, and helped with the purchase of a small farm in St. Eugene (about one mile from where Camille and Jean-Guy live today).

How many of you knew this?

Starting all over from ground zero! He decided that to survive he must work in the woods for his brothers, who were lumber contractors, and left the eldest son on the farm with our mother. In a few years, he saved enough money  to buy the farm of his parents, where Camille and Jean-Guy reside now.

At that point in time, there were 17 children (3 dead). Gregory and Camille were born on this farm.  Dad, through inquiries and self-education learned how to run the farm. And through his diligence and hard work, became a great success!

So successful was he, that soon all the farmers in the county came to ask his opinion and learn from his expertise. Continuing with the farm, he began, with one of his brothers, another enterprise, in order to provide for his family a good living. It was the purchase of “army camps” all over the country which included: purchase, demolition and sale of materials. Again, these years were filled with success!

Everything he touched became the product of his efforts. We have the proof!

Despite his bad health (diabetes, high blood pressure, heart ailments), he never complained, continuing his parental duty and responsibilities right to the end! As well as his immense courage. All the successes we have in our lives, can be attributed to our father! He was a man of few words, but when he did speak, they were words of wisdom and to the point! I hope that this tribute to our father will help you to realize and appreciate the immense contribution he gave to our family.

Marthe Battles Sasseville (daughter)
July 27, 2002

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Sauvetage In Extremis

Le 22 mai dernier sur le contrat Optimisation Shipshaw de la compagnie Garda, l’agent Robin Sasseville effectuait une tournée de vérification sur le chantier. Dans le secteur du réservoir du barrage, Robin, avec ses grands yeux de hibou, a aperçu deux pêrcheurs dont la chaloupe s’était renversée, emportés par le fort courant sur le réservoir, et qui filaient droit sur le barrage. Robin n’a pas perdu un instant et a déclenché l’alerte générale. Les gens de SNC Lavalin et de Rio Tinto Alcan se sont précipités rapidement pour aller seconder Robin dans le sauvetage. L’agent Carol Boudreault pour sa part était dans la guérite et a su diriger de main de maître les secours (pompier, ambulance) au bon endroit afin de permettre l’évacuation des deux malheureux en hypothermie sortis des eaux glacées (7 degrés). Donc je dis un grand bravo à mes deux collegues de travail, à toute l’équipe du chantier et surtout à Robin qui, avec sa vigilance habituelle, à sauvé les deux hommes d’une mort certaine.

par Alain Tremblay délégué régional

On May 22, while on contract with Shipshaw Optimization Company, Garda officer Robin Sasseville was touring a site for the company. While visiting an area near a reservoir dam, Robin, with his eagle eyes, saw two fishermen, whose boat had overturned, being swept by a strong current, and heading right for the dam.  Not hesitating for  a moment, Robin triggered a general alert and ran to their rescue.  People of SNC Lavalin and Rio Tinto Alcan rushed quickly to assist Robin.  Agent Carol Boudreault for his part was in a nearby bungalow and  masterfully directed relief (fire, ambulance) to the right place to allow the evacuation of the two unfortunates, who were suffering from hypothermia in icy 7 degree waters.  So I say a big congratulations to my two colleagues, the entire construction team and especially to Robin, who, with his usual vigilance,  rescued the two men from certain death.

by Alain Tremblay Regional Delegate

Patrick – Olympic Flame

Jean Marc dans / in Haiti

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(LE QUOTIDIEN – CHICOUTIMI) Jean-Marc Sasseville, policier à la Sécurité publique de Saguenay (SPS), est en Haïti depuis le mois d’octobre dernier. Et il a tout perdu. L’immeuble dans lequel était situé son appartement s’est effondré, le jetant à la rue. Il est sain et sauf, mais tente de sauver des vies.

Les trois policiers du Saguenay-Lac-Sait-Jean, Jean-Marc Sasseville, Bertrand Fraser et Daniel Thibeault, sont en bonne santé. Actuellement en mission en Haïti, on n’avait toujours pas de nouvelles d’eux, plusieurs heures après le puissant séisme qui a secoué Port-au-Prince.

Jean-Marc Sasseville a transmis un courriel au directeur du service cet après-midi (hier). Il demeurait dans un appartement, à Port-au-Prince. Tout s’est écroulé. L’endroit où il travaillait également. Il va bien, mais ça fait 40 heures qu’il n’a pas dormi. Et il fouille les décombres. Il n’a plus rien», explique Dominique Corneau, lieutenant à la SPS.

Contactée par LE QUOTIDIEN, la fille de Jean-Marc Sasseville, Marianne, avoue que c’est avec soulagement qu’elle a appris que son père se portait bien. “Il est certainement dépassé par les événements. Mais mon père est fort, il va passer au travers. Mais il doit être très fatigué et on ignore où il se trouve précisément”, a mentionné la jeune fille. C’était la deuxième mission du capitaine Sasseville en Haïti.

Selon le lieutenant Corneau, les noms de Jean-Marc Sasseville et Bertrand Fraser figurent sur le registre des présences de la Gendarmerie Royale du Canada (GRC). Ils s’y sont inscrits plusieurs heures après le terrible tremblement de terre. Contactées par le service de police, les familles ont pu respirer un peu mieux.

“Nous n’avons pas pu parler directement avec Jean-Marc et Bertrand, mais on sait qu’ils sont corrects”, a indiqué le lieutenant Corneau.

C’est hier, vers 23h, qu’il a reçu un coup de téléphone, l’informant que Jean-Marc Sasseville répondait à l’appel. ” J’ai donc pu communiquer avec la famille. Mais nous avons des nouvelles que par personnes interposées. La logistique et les moyens téléphoniques sont très difficiles. On ne veut pas non plus engorger les systèmes de communications. Connaissant Jean-Marc, il a dû porter immédiatement secours aux gens touchés”, souligne Dominique Corneau.

Soulagement

Pour ce qui est de Bertrand Fraser, Dominique Corneau n’a eu la bonne nouvelle qu’à 5h hier matin. “Nous avons passé une nuit très angoissante. Sa conjointe était très affectée, mardi soir. Elle essayait de le rejoindre sur son cellulaire, tout comme nous. Mais on n’avait pas de réponse. Cela augmentait notre inquiétude. Quand j’ai reçu la nouvelle que Bertrand était sain et sauf, je me suis empressé de contacter sa conjointe. Elle a poussé un soupir de soulagement. Je dois dire qu’elle était très inquiète”, a raconté M. Corneau.
Patricia Rainville

(LE QUOTIDIEN – Chicoutimi) Jean-Marc Sasseville, a policeman with the Saguenay Public Safety (SPS), has been in Haiti since last October. He lost everything. The building where his apartment was located collapsed, throwing him into the street. He was unhurt, and immediately tried to save lives.

The three policemen from Saguenay-Lac-Sait-Jean, Jean-Marc Sasseville, Fraser and Daniel Bertrand Thibeault, are all healthy. Currently serving in Haiti, there was still no news of them, several hours after the powerful earthquake that rocked Port-au-Prince.

Jean-Marc Sasseville sent an email to his service manager this afternoon (yesterday). He lived in an apartment in Port-au-Prince. Everything collapsed. The place where it worked well. He’s fine, but it’s 40 hours that he has not slept. And he searched the rubble. He has nothing, “explains Dominique Corneau, a lieutenant in the SPS.

Contacted by the newspaper LE QUOTIDIEN, the daughter of Jean-Marc Sasseville, Marianne admited that it was with relief that she learned that her father was doing well. “It is certainly overwhelming. But my father is strong, he’ll get through it. But he must be very tired and it is unclear where he is precisely, “said the girl. It is the second mission in Haiti for Captain Sasseville.

According to Lt. Corneau, the names of Jean-Bertrand Marc Sasseville and Fraser are on the attendance records of the Royal Canadian Mounted Police (RCMP). They had registered several hours after the terrible earthquake. Contacted by the police, families were able to breathe a little better.

“We could not talk directly with Jean-Marc and Bertrand, but we know they were okay,” said Lt. Corneau.

Yesterday, at about 23h, he received a phone call informing him that Jean-Marc Sasseville answered the call. “I was able to communicate with the family. But we received the news through intermediaries. Logistics and telephone communications are very difficult. Although he did not want to further clog the communications systems, Jean-Marc knew he had to bring immediate relief to those affected “, said Dominique Corneau.

Relief

For Bertrand Fraser Dominique Corneau, there was good news at 5am yesterday morning. “We had a very scary night. His wife was very upset Tuesday night. She tried to reach him on his cell phone, just like us. But there was no answer. This increased our concern. When I received the news that Bertrand that he was safe, I was anxious to contact his wife. She heaved a sigh of relief. I must say she was very worried, “he told Mr. Corneau.
Patricia Rainville

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